Repères
• Installation: juillet 2012 dans le cadre familial.
• Production sur 130 ha: 65 ha de blé tendre, 45 ha de tournesol, 8,5 ha de maïs semence et 11 ha de colza semence. 20 ha irrigables.
• Mûrement construit et étayé de solides bases économiques et agronomiques, le projet d’installation de François Despax s’est concrétisé avec l’intégration de cultures semencières et l’adhésion au réseau de fermes de références Écophyto.
• Production sur 130 ha: 65 ha de blé tendre, 45 ha de tournesol, 8,5 ha de maïs semence et 11 ha de colza semence. 20 ha irrigables.
• Mûrement construit et étayé de solides bases économiques et agronomiques, le projet d’installation de François Despax s’est concrétisé avec l’intégration de cultures semencières et l’adhésion au réseau de fermes de références Écophyto.
• Engagé dans la charte de qualité : CRC pour le blé tendre
Son parcours
Depuis son plus jeune âge, François Despax, jeune agriculteur gersois de 22 ans, voulait devenir agriculteur. « J’ai orienté mes études pour qu’elles répondent à mon projet d’installation », explique-t-il. Et de fait, François Despax concrétise son rêve d’enfant par son installation sur l’exploitation familiale dès son BTS agronomie et productions végétales en poche !
Depuis son plus jeune âge, François Despax, jeune agriculteur gersois de 22 ans, voulait devenir agriculteur. « J’ai orienté mes études pour qu’elles répondent à mon projet d’installation », explique-t-il. Et de fait, François Despax concrétise son rêve d’enfant par son installation sur l’exploitation familiale dès son BTS agronomie et productions végétales en poche !
Son projet
François Despax s’est installé en intégrant dans les 130 ha de l’exploitation une vingtaine d’hectares de cultures de semences (maïs et colza), pour venir renforcer un assolement initialement consacré exclusivement au blé tendre et au tournesol.
Pour le jeune agriculteur, deux objectifs prédominent : retrouver de la stabilité agronomique pour utiliser moins d’intrants, et disposer d’une exploitation viable économiquement grâce à des cultures à bonne valeur ajoutée.
Cette sensibilisation aux problématiques agronomiques et environnementales l’a conduit à rejoindre le réseau de fermes Dephy Écophyto, des exploitations de référence qui visent à utiliser moins de pesticides.
François Despax s’est installé en intégrant dans les 130 ha de l’exploitation une vingtaine d’hectares de cultures de semences (maïs et colza), pour venir renforcer un assolement initialement consacré exclusivement au blé tendre et au tournesol.
Pour le jeune agriculteur, deux objectifs prédominent : retrouver de la stabilité agronomique pour utiliser moins d’intrants, et disposer d’une exploitation viable économiquement grâce à des cultures à bonne valeur ajoutée.
Cette sensibilisation aux problématiques agronomiques et environnementales l’a conduit à rejoindre le réseau de fermes Dephy Écophyto, des exploitations de référence qui visent à utiliser moins de pesticides.
Ses résultats
Pour atteindre ses objectifs, François Despax a déjà actionné plusieurs leviers, comme l’adoption du désherbage mécanique sur le colza et le maïs semences mais aussi la construction d’un dispositif pour dégrader les résidus de produits phytosanitaires de façon naturelle, le Phytobac.
Le jeune agriculteur participe également à un réseau de suivi de l’irrigation. « Je collecte les données de sondes placées dans le blé pour déclencher les irrigations si nécessaire, au bon moment, et à la juste dose », explique-t-il.
Côté fertilisation azotée, les blés sont tous pilotés grâce à des images satellitaires qui lui permettent d’ajuster les doses d’engrais aux besoins réels de la culture.
Le jeune agriculteur s’est également investi dans des expérimentations destinées à favoriser la biodiversité, notamment les insectes pollinisateurs.
Pour atteindre ses objectifs, François Despax a déjà actionné plusieurs leviers, comme l’adoption du désherbage mécanique sur le colza et le maïs semences mais aussi la construction d’un dispositif pour dégrader les résidus de produits phytosanitaires de façon naturelle, le Phytobac.
Le jeune agriculteur participe également à un réseau de suivi de l’irrigation. « Je collecte les données de sondes placées dans le blé pour déclencher les irrigations si nécessaire, au bon moment, et à la juste dose », explique-t-il.
Côté fertilisation azotée, les blés sont tous pilotés grâce à des images satellitaires qui lui permettent d’ajuster les doses d’engrais aux besoins réels de la culture.
Le jeune agriculteur s’est également investi dans des expérimentations destinées à favoriser la biodiversité, notamment les insectes pollinisateurs.
Son rêve
François Despax a déjà de nouveaux projets pour améliorer le fonctionnement de son système : « J’aimerais implanter des couverts végétaux pour piéger les nitrates. J’aimerais aussi pouvoir encore enrichir ma rotation avec de nouvelles cultures comme l’orge et le lin oléagineux », prévoit-il. Pour le jeune agriculteur, le rêve a commencé, celui de vivre d’un métier qui le passionne depuis son plus jeune âge !
François Despax a déjà de nouveaux projets pour améliorer le fonctionnement de son système : « J’aimerais implanter des couverts végétaux pour piéger les nitrates. J’aimerais aussi pouvoir encore enrichir ma rotation avec de nouvelles cultures comme l’orge et le lin oléagineux », prévoit-il. Pour le jeune agriculteur, le rêve a commencé, celui de vivre d’un métier qui le passionne depuis son plus jeune âge !
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